Chez Apple, on ne plaisante pas avec le sexe, ni avec grand chose d’ailleurs. Une tonne d’applications sont disponibles dans l’App Store, mais beaucoup d’entre elles ont été censurées. GQ en a découvert 25 qui vous feront dire WTF.
- Le baromètre de beauté : cette application gratuite évalue le visage, le corps, et les vêtements d’utilisateurs ayant téléchargé leur photo. Apple a dit non, après avoir eu connaissance des clichés d’une adolescente de 15 ans dénudée.
- Le convertisseur d’herbe : les revendeurs d’herbe ont découvert un nouvel outil pour calculer et convertir les onces en grammes avec l’application de revente d’herbe. Certains consommateurs se sont plaints du manque d’options comme les différents tarifs de la marijuana. Devant des critiques encore plus importantes, Apple a retiré le convertisseur.
- Sexy Bikini Fart : des jolies filles en bikini qui multiplient les flatulences, c’est tout sauf sexy. La plupart des mecs préfèreraient plutôt les entendre gémir. Apple a été du même avis.
- PinPointsX : PinPointX poste des annonces coquines sur les GPS et permet à ses utilisateurs de localiser des partenaires érotiques. Apple s’est rendu compte qu’il n’y avait pas moyen de tracer l’adresse IP de l’utilisateur. Encore une autre application qui a mordu la poussière.
- Baby Shaker : il y a apparemment quelque chose de dérangeant dans le fait de secouer violemment son iPhone pour stopper les pleurs d’un enfant. Les associations pour la protection de l’enfance ont accusé Apple de promouvoir l’infanticide. Le chemin a été long jusqu’à ce que Baby Shaker finisse sa route dans une poubelle.
- Prohibition : The Dope Wars 2 : Facebook a Mafia Wars et l’iPhone avait Dope Wars 2. Le jeu controversé permet à ses utilisateurs de jouer les vendeurs de drogue avec 30 jours pour amasser le plus d’argent possible. Le jeu a été retiré après qu’Apple ait jugé le titre trop explicite. Une réédition a été faite dans laquelle la drogue est remplacée par des friandises.
- Je suis riche : à 100 dollars, cette application sans fonction affiche un diamant rouge avec cette phrase d’accroche « Je suis riche ». Apple l’a supprimée sans explication, mais pas avant que 8 génies aient pu la télécharger.
- Le trampoline Obama : faites un choix parmi 18 politiciens de Sarah Palin à Barack Obama et utilisez l’accéléromètre iPhone pour lui faire faire des bonds dans le bureau ovale. La caricature de Bill Clinton sans pantalon, considérée comme une violation de la politique d’Apple de ne pas ridiculiser des personnages publiques, a conduit au retrait immédiat de l’application.
- Ghetto Tweets : une application Twitter qui filtre automatiquement l’emploi du temps de vos amis et convertit leurs tweets en argot de rue et en sons hystériques. Mais essayez d’expliquer ça à des extrémistes. Apple a balancé son traducteur ghetto après avoir été submergé de plaintes pour racisme et ignorance.
- Wikileaks : Julian Assange eut la brillante idée de donner accès à des documents gouvernementaux aux détenteurs de cette aplication pendant qu’ils sont sur la route. Apple a interdit Wikileaks pour non-respect de leur clause sur les attaques personnelles et parce qu’il considère le site comme une menace potentielle pour les utilisateurs d’iPhone.